Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent.

Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent.

11 décembre 2006

Joli cadeau de Noël

C'est en lui laissant l'anonymat
Que je vous fait partager ce joli poême
Merci bien pour ce cadeau à l'avance
Il m'a fait chaud au coeur!







Un escalier prolongeant le sinistre mur,

Un couloir noir et obscure,

Au fond de ce couloir une porte vérouillée

D’ou te provienne mes échos poétiques

Qui en ce lieu parraissent prophétiques.



À savoir si je dois me contenter de te vouloir,

Sans jamais que ton cœur daigne me promouvoir,

Car l’éclipse de tes sentiments quoiqu’instannanée,

N’est rien de plus qu’un système de sécurité élaboré.



Je suis le prince chevalier qui attendrissera le mur,

A grand coups d’épées et de sentiments purs,

Je me battrais pour l’honneur de mon armure,

Afin d’être l’élu qui entend tes murmures.



Je traverserai l’hiver de ton mécontentement,

Jusqu’à l’équinoxe je combattrai ardument,

Après quoi le couloir sera envahit de lumière,

Enfin je pourrai admirer tes yeux ouverts.



Pour franchir cette porte je devrai trouver clé,

Devenu roi j’envahirai brusquement tes pensées,

J’escaladerai les falaises de tes incertitudes,

Afin de respirer ton parfum des bermudes.



Exaltation incontrolable devant une porte entrouverte,

J’y entrerai impulsivement sans craindre ma perte,

Arrivé à destination, subjugué par tant de beauté,

Ma caresse sera inlassablement passionée.



Le déluge suivant la sécheresse de mon cœur,

Qui s’abreuverra en oubliant toute sa rancœur,

Avec quelques feintes je tâcherai de te déjouer.

Pour finalement t’embrasser et ce sans pitier.



Sans tremplin, je plonge dans tes yeux,

Me noyant perpétuellement dans dans l’un d’eux,

Ne sachant discerner le rêve de la réalité,

Je serai submergé sous ton pouvoir,

Te suiverai de l’autre coté du couloir…

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