Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent.

Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent.

14 mars 2007

Deux hommes, une femme .

-Quel bel vue!!!

En entrant c'est la première réaction qu'à le jeune inconnu.
Cette chambre est vivement éclairée par le soleil qui plombe sur le tapis de style ancien.
L'immense fenêtre à carreaux donne une vue imprennable sur le fleuve où le temps semble passer si lentement...

Les pigeons se font la cour sur le rebord extérieur et on entend au loin les goélands qui se chicanne sur le toit des maisons.

Cet endroit est tout simplement paradisiaque...

Que dire de l'odeur...
Le bois qui couvre les murs, le parfum que dégage les draps fraîchement lavés et la fenêtre ouverte...
C'est apaisant et vivifiant à la fois.

On voit tout au fond un grand bain entouré de belles décorations et de parfumeries...
Il ne manque que moi pour que tout soit enfin parfait.

Vous vous assoiyez sur le grand lit au velours rouge et commencé à discutez sur ce qui vous amène à la belle Capitale...Et surtout de où tout cela pourrait vous mener...

Ça fait maintenant près d'une heure que toi et le bel inconnu m'attendez.
Vous demandez à la receptionniste de faire monter une de leur meilleure bouteille de rouge et pour bien complèter le tout, un bon vieux porto et quelques chocolats.

On cogne à la porte...immédiatement vous vous regardez hyper éxitée car vous êtes certain que c'est moi qui est arrivé.

Hé bien non, malheureusement c'est le commis aux chambres qui d'un air un peu distrait vous tend le charriot avec les bouteilles, des coupes et un joli bouquet de marguerites
Vous vous installez sur le grand lit et la mine un peu défaite, vous bébouchez la première bouteille.

Près de 10 minutes après le 2 ème verre versé on cogne à la porte.
Pensant encore que c'est le service aux chambres vous dites simplement d'un ton un peu découragé qu'on peut entrer.

La porte s'ouvre..
De belles et longues jambes bazanée, une robe soleil aux couleurs vives oscillant entre les tons de jaune clair et vert lime, un léger décolleté où le tissus moule à merveille la rondeur des seins et puis, un sourire famillier.

C'est bien la même personne avec pour seule différence un air décidé et des yeux langoureux.

Vous restez muet..

La porte se referme derrière moi et je vous ordonnes de vous déshabiller...

Je marche félignement à la baignoire où je laisse s'écouler près des 2 tiers de la petite bouteille de mousse pour le bain à odeur de Lavande.

Je me retourne et m'approche.
Je me couche sur le lit entre vous deux et vous demande de me déshabiller lentement.

Vos mains longes mes mollets, mes cuisses puis mon entres-jambes pour ensuite remonter le long de mes hanches et sur le dessus de mon ventre.

Vous vous apppliquez si bien que c'est comme si je n'avais qu'un voile qui me couvrait.
J'ai des frissons car c'est la première fois que j'ai 4 mains masculines qui parcourrent mon corps.

Tout en levant la robe derrière votre passage vous continuez votre route jusqu'au sommet de mes seins.

Pendant que l'un me les caresses l'autre décide de commencer à m'embrasser dans le cou, puis juste en haut de ceux-ci.

Je sents une main moite séparer mes cuisses puis s'éprendres de mon clitoris.
Ce léger éffleurement me fait frémir et je commence déjà me sentir partir.

Je me lève promptement et vais au bain qui est près de déborder.

J'entre dans la mousse et tourne la tête vers la droite pour vous observer quelques secondes et, d'un léger sourire remplis de malice, je me retourne prend le savon, le frotte entre mes mains.

Je sort mes jambes de l'eau une à la fois,passe mes mains sur mon corps en jouant subtilement avec votre désir.

Vous comprenez rapidement que je veut échanger ce moment avec vous et vous respectez la distance qu'il y a entre le lit et moi.

Vous me regardez d'un regard intense et moi je joue le jeu en faisant comme si j'étais seule dans la pièce.

Je penche la tête légèrement vers l'arrière et ferme les yeux tout en continuant de me caresser.

Vos deux membres bien droit et bien gonflés....c'est douloureux... vous n'en pouvez plus...
Vous commencez alors à vous masturber au tempo de mes caresses.
Je laisse échaper de petits soupisr de détente et de plaisir et votre exitation ne fait qu'augmenter la mienne.

À suivre......

2 commentaires:

L'intense a dit...

Hmm...tu es inspirée ces temps-ci à ce que je lis!!

Je t'avouerais que le trip de lesbienne est assez chaud, à croire que t'es déjà passée par la :P

J'adore Akasha, la reine sanguinaire Si tu n'as pas lu la reine des damnés, cours vite chercher le livre a la bibliothèque tu le regretteras pas!!Aussi: Entretient avec un vampie, Lestat le vampire (mon livre fétiche...)

Ton entre-mais, ca intrigue.

Aphrodisia a dit...

ça intrigue???
explique toi :P